NOM ► Caulfield de ton ancienne vie, Row de la nouvelle. Ce qui donne Caulfield-Row. PRÉNOMS ► Avalon de ton ancienne vie, Frankee de la nouvelle. Donc, Frankee maintenant. SURNOM(S) ► Frankee suffira, Ava, Lili, Lolo si vous y tenez. ÂGE ► 24 ans. DATE DE NAISSANCE ► 01.01.1991. LIEU DE NAISSANCE ► Atlanta. ORIENTATION SEXUELLE ► Bisexuelle. STATUT CIVIL ► Célibatante, c’est-à-dire une fille qui est seule mais qui se bat contre la solitude. MÉTIER ET/OU ÉTUDES ► Tu aurais pu être engagée en tant qu’artiste dans les plus grands studios de dessins animés ; mais t’es devenue prostituée, parce que personne ne veut de toi, depuis la déchéance. AVATAR ► Kaya Scodelario. GROUPE ► Cotton Candy. CRÉDITS ► Not today et Qwenty.

PSEUDO/PRÉNOM ► Kelly. ÂGE ► 18 ans. SEXE ► F. PAYS/RÉGION ► France. TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ► Publicité sur un groupe FB. POURQUOI T'ETRE INSCRIT(E) ? ► J’ai craqué sur le scénario de Ian. UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ► Hum.. Je vous dirais ça par la suite, si j’en trouve. UN DERNIER TRUC A DIRE  ? ► Des je t’aime un peu trop beau.

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<span class="pris">► KAYA SCODELARIO</span> ∞ frankee ‘a’ caulfield-row

Ton enfance s’est déroulée normalement, si on oublie un père accroc aux jeux d’argent, une mère semi-dépressive et une ambiance plutôt morbide à la maison, quelle que soit l’heure : en y repensant, tu te dis que t’aurais mieux fait de vraiment les prendre ces médicaments, dans la version officielle de l’histoire. Mais non, t’es toujours en vie, et à l’époque aussi t’étais vivante. Et bien comme il le faut. A vrai dire, t’as jamais vraiment eu de relation, hormis avec Ian : t’es tombée amoureuse comme on tombe d’une chaise = simplement, mais durement. Ça fait mal au début, puis finalement ça te fait rire, et ça te rend plus forte. Oui, parce qu’entre vous, c’était pur, c’était dur, mais c’était vrai, et frais. A bien y penser tu donnerais n’importe quoi pour retourner là-bas, et lui hurler que t’es encore en vie. Mais tu ne peux pas, tu ne peux plus : retourner en arrière, et après ? Il n’y a rien après. Il n’y a que la vie que tu as maintenant. Et tu n’y peux rien.


Mais qu’est-ce qu’il s’est passé au juste ? Je suppose que c’est ce que vous voulez tous savoir. C’est simple : ton père, il était un peu trop joueur, un peu trop peur ; et puis il a continué à jouer, à gagner. Mais finalement, quand il a fallu rembourser, il en était incapable : l’enfer a commencé. Tu dormais, paisiblement : tu te rappelles même avoir rêvé d’un avenir certain avec Ian. Tu étais heureuse, pour la première fois depuis trop longtemps. Mais un bruit de casse t’a réveillé en sursaut. Et tu as sauté de ton lit quand tu as entendu un hurlement : tu as de suite reconnue ta mère. Même si elle ne parlait pas souvent, tu aurais pu la reconnaître entre milles. Alors tu as couru, et en haut des escaliers, tu as vu l’horreur : deux hommes étaient là, et papa essayaient de s’excuser, de les faire partir. Mais rien à faire : ils ont égorgés ton papa, et en croisant le regard de ta maman, tu es partie te cacher sous le lit. Les mains sur les oreilles, tu as fermé fort les yeux : mais même avec toute la volonté du monde, tu as entendu les supplications de ta mère : elle les suppliait qu’ils en finissent. Et quand le silence est revenu, tu n’as pu te relever. Jamais. Tu es toujours restée sous ce lit.



Tu ne sais pas quand est-ce que, vraiment, tu t’es rendu compte des choses. Tu as entendu les sirènes, les policiers te parler, te réconforter. Tu n’as pas bougé. Des heures, des jours peut-être, à rester bloquer sous le lit. Et puis ils ont finis par essayer de te faire partir : c’est sûrement parce que tu t’es débattu qu’ils t’ont enfermée. Mais qu’importe, c’était probablement le mieux. Protection des témoins, tout le tralala : ils ont simplement dit que tu étais morte suicidée, et voilà le tour est joué. Seulement, toi, même si t’étais vivante, t’aurais préféré crever. Parce que t’as pas été courageuse, t’as fait ton enfant, et personne ne pourra te dire le contraire. Tu t’en veux. Et tu t’en veux tellement que t’es devenue cinglée. Ouais, ma pauvre, t’étais là, fallait te voir : assise sur ta chaise, le premier qui t’approchais finissait mal. Et toi, tu passais ton temps entre l’isolement et les médicaments. A croire que t’étais devenue morte, toi aussi. Pourtant, quand t’as guérie, t’as pu témoigner, et ils ont été condamné. Et on t’a relâché. On aurait p’tête dû te garder.


Penses-tu. On t’a relâché. Et tu t’es retrouvée toute seule. A la rue. C’est vrai, il n’y avait plus que toi, tes dessins, tes rêves et … La rue. Alors au début, t’as rien fais, t’es restée là, comme une SDF. Et puis, finalement, t’as cherché quelque chose, un boulot, n’importe quoi. Tu voulais pas faire la tapin, mais t’avais pas le choix : tu comprends, si tu voulais vivre, ne serait-ce qu’une seconde de plus, tu devais t’en sortir. Tu t’es promis d’arrêter dès que tu aurais assez d’argent. Mais tu n’as pas su. Parce que personne ne voudrait d’une folle. Parce que personne ne veut de toi. Alors au début, on t’hébergeait. Petit à petit, t’as réussi à avoir un appartement. Et maintenant, t’es là, dedans, un peu comme si tu revivais. Mais la vérité, c’est que tu te contentes de survivre. Et de rêver. Parce que si t’es debout aujourd’hui, c’est parce que les rêves te tiennent en vie. Y a rien d’autre. Y a que ça. Il n’y avait que ça. Finalement, tu voudrais peut-être y retourner à l’asile. T’es pas confiante.


Si on devait résumer ta vie d’aujourd’hui, on pourrait croire que tout va bien : mais t’es juste paumée dans c’monde. C’est vrai quoi ? Tu étais une princesse, il n’y a pas si longtemps que ça : ton prince t’aimait, tu l’aimais, tu voulais même avoir un enfant avec. Oui, c’est vrai, c’était un de tes rêves cachés. Tu voulais lui en parler. Mais aujourd’hui, t’as plus rien : rien que son visage dans tes rêves et sur tes dessins. Son visage quand tu les laisses te toucher. Son visage quand tu regardes les étoiles. Secrètement, t’aimerais peut-être lui raconter tout, qu’il ne t’en veuille pas. Et puis tu reprends tes idées, et là tu te dis que finalement, il mérite mieux que toi. Ouais, t’es pas une fille bien. Mais t’es pas une fille mal Avalon. Enfin … Frankee, pardon.

Eh oui ! Tu fais désormais partie de la très sélecte famille des membres validés d'HEVA ! BRAVO mon lapin Mais ton voyage ne fait que commencer ! Maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire : te faire des amis dans le monde merveilleux des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et courir nous rejoindre dans le monde fantastique des RP! Si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non).

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Enfin, ta validation t'ouvre les portes de la guerre des clans ! Tu recevra plus d'informations par MP !
Le plus important reste quand même que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait que tu nous aimes fort fort fort !).