NOM ► Hastings PRÉNOMS ► Samuel Liam SURNOM(S) ► Sam, Samy, Liam ÂGE ► 20 ans DATE DE NAISSANCE ► 6 septembre 1993 LIEU DE NAISSANCE ► Los AngelesORIENTATION SEXUELLE ► Hétérosexuelle STATUT CIVIL ► Célibataire MÉTIER ET/OU ÉTUDES ► Etudiant en littérature AVATAR ► Colton Haynes GROUPE ► Love CRÉDITS ► Tumblr et Bazzart

PSEUDO/PRÉNOM ► Ludivine/Lu' ÂGE ► 20 ans SEXE ► Féminin PAYS/RÉGION ► Région Lyonnaise TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ► Par la fonda POURQUOI T'ETRE INSCRIT(E) ? ► Parce que le contexte est top UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ► Aucune UN DERNIER TRUC A DIRE  ? ►  

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<div class="pris">► Colton Haynes</div>

Je me présente : Je me prénomme Samuel Liam Hastings. Je suis né le 6 septembre 1993 à Los Angeles. Mon père Tristan Samuel Hastings est un célèbre avocat très renommé à Los Angeles. Ma mère Natalia Anastasia Ivanov-Hastings, un grande neurologue, originaire de Russie. Mes parents se sont rencontré en Russie quand mon père était l'avocat d'une grande compagnie industriel de médicament générique. Ma mère était à l'époque interne en 11 ème année dans cette compagnie. Une fois l'affaire finit, ma mère m'a raconté qu'elle avait quitté sa vie à Moscou pour suivre mon père à Los Angeles. Après s'être très vite marié, sachant immédiatement qu'ils étaient fait l'un pour l'autre, ils ont essayé pendant plus de 6 ans d'avoir un enfant. Finissant par perdre confiance, je suis quand même arrivée, et enfin né 9 mois plus tard pour le plus grand bonheur de mes parents.

Les années défilèrent et la belle famille parfaite commença à décliner quelque peu .. Mes parents n'étaient presque jamais là, étant élevé par Dolores, la gouvernante et ma nourrice, j'avais plus l'impression que l'espagnol était ma langue maternelle. En grandissant tout m'éloignait de mon père, alors que je gardais quand même une relation très forte avec ma mère, qui elle contrairement à mon père essayait de se libérer le plus possible pour passer du temps avec moi. Elle essayait de venir à mes fêtes d'école, m'accompagnait pour aller chercher des bonbons dans les rues de L.A pour Halloween, m'emmener manger une glace ou un hamburger dès qu'elle le pouvait. Mon père lui rentrait et ne ma calculait pas. Je me réfugiais alors dans ma chambre, m'armant d'une feuille et d'une stylo et je réécrivais ma vie.

Quand j'eu l'âge de choisir ma voie, mon père commença bizarrement à s'intéresser à moi. Il voulait m'emmener avec lui à son boulot, pressait ma mère pour qu'elle en fasse de même. Il voulait me faire faire des stages dans son cabinet d'avocat, il tenait à être là quand je cocherais la case avocat ou médecin sur mon questionnaire d'étude. Mais moi je ne voulais pas de cette vie là, j'ai donc commencé à devenir turbulent, parfois même irrespectueux envers mon père. Je me suis fait virer de plusieurs écoles avant que mes parents ne m'envoie, à l'âge de 17 ans dans un pensionnat à Atlanta. C'est là que je l'ai rencontré ..

Elle s’appelait Aby, tout va très vite "entre nous" un jour j'ouvre la conversation, un autre je me retrouve à avoir un besoin d'être avec elle presque vital. Un jour elle m'intrigue, l'autre elle fait chavirer mon coeur. On se lie très vite d'amitié, et puis ensuite d'autre chose sans vraiment savoir ce que c'est. Tout ce que je sais c'est que c'est fort, prenant, indescriptible mais tellement bon. En un an, elle ne fait plus partie de ma vie, elle est ma vie. Et puis tout bascule, c'est la fin de mes deux ans à Atlanta, je dois partir. Ayant toujours eu l'habitude d'être ignoré, repoussé voir presque méprisé par mon père, j'ai malheureusement l'habitude de partir sans jamais dire au revoir. C'est ce que j'ai d'ailleurs fait avec Aby, elle savait qu'à la fin de mes deux ans je devrais partir, mais tout s'est passé tellement vite que je n'ai pas vraiment eu le temps de lui dire au revoir. Les mois qui suivent son absence sont dure, je lui écrit des lettres tout les jours et elle me répond. Puis mes lettres se font de plus en plus rare. Je passe du temps à me battre contre la déception de mon père de me voir dans une fac de littérature plutôt qu'en médecine ou en droit. J'essaie de me construire une vie sociale, je sors et j'essaie de tout oublier de ma vie construite autour d'une seule personne : Aby. Je couche avec des tas de fille, à droite et à gauche, je ne garde jamais une fille de façon sérieuse, je tente d'oublier Aby mais je n'y parvient pas. Pourtant tout ça parait tellement fou, elle était ma moitié, ma meilleure amie mais je ne savais absolument pas si elle aussi ressentait cette chose, ce sentiment, se picotement qui te fait dire que lorsque tu regardes cette personne dans les yeux, ce n'est plus de l'amitié que tu ressent pour elle, mais belle et bien de l'amour. De l'amour sous sa forme la plus pure qu'il soit. C'est ce que je ressentais pour Aby et que je ne m'étais jamais résolu à lui avouer avant mon départ, avant son absence. Mais après cette année d'absence je me sentais différent. J'avais connu des filles, certes, aucune comme Aby, mais aucune ne m'avait aimé pour ce que j'étais réellement, alors pour Aby serait-elle différente sur ce point.

Finalement, je décidais quand même de faire mes valises et de partir pour Savannah, ville ou Aby était native et ou j'étais sûre de la retrouver. J'avais prit soins de faire transférer mon dossier à la fac de litté de Savannah et me voilà, maintenant près à retrouver celle que j'aime et ne pas laisser partir cette fois. On apprend de ses erreurs, je ne referais pas la même.

Eh oui ! Tu fais désormais partie de la très sélecte liste des membres validés ! BRAVO mon lapin Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous ! Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu. Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).