NOM ► Montgomery est le nom de famille de mon père. Harper est celui de ma mère. J'ai décidé de porter les deux au moment du divorce de mes parents. PRÉNOMS ► Maya est mon premier prénom, Jade le second. C'est aussi celui de ma défunte grand-mère paternelle. SURNOM(S) ► Mama ou bien maman par mes amies ÂGE ► vingt-cinq ans DATE DE NAISSANCE ► 14 février 1988 LIEU DE NAISSANCE ► Savannah ORIENTATION SEXUELLE ► hétérosexuelle STATUT CIVIL ► célibataire MÉTIER ET/OU ÉTUDES ► résidente en chirurgie AVATAR ► holland roden GROUPE ► family CRÉDITS ► tumblr et shiya

PSEUDO/PRÉNOM ► queen b/Chloé ÂGE ► vingt yo SEXE ► féminin PAYS/RÉGION ► France/Paris TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ► Bazzart POURQUOI T'ETRE INSCRIT(E) ? ► Pourquoi pas ? J'aime bien le design et j'ai eu un coup de coeur pour un scénario. UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ► Pas pour l'instant UN DERNIER TRUC A DIRE  ? ► BA-DAM !
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<div class="pris">► HOLLAND RODEN</div>

Je suis née le jour des amoureux de l’année 1988, de l’union de Alana Harper et de Caleb Montgomery. Ces deux-là formait un merveilleux couple. Lui, conseiller du maire et chef d’entreprise accomplit, elle médecin en chirurgie cardiaque. Ils filaient le parfait amour, tout en excellent dans leur carrière respective. Ma mère tomba enceinte, alors qu’elle était tout juste diplômée. Elle ne le reconnaitra jamais, mais elle pensait à ce moment-là que son enfant serait un frein à sa carrière. Je naissais donc quelques mois plus tard. Mon père tomba amoureux de moi à la seconde ou son regard ce posa sur moi. Il avait toujours eu des rapports compliqués avec son père, qui était froid et distant. Il ne voulait surtout pas reproduire la même chose avec ses enfants et s’était fait la promesse de protéger et chérir ses enfants. Cependant, il n’avait pas eu la chance d’avoir un frère ou une sœur et rapidement, il eu envie d’un second enfant. Alana, tenta de calmer les ardeurs de son mari en vain. Deux ans plus tard, Noah naissait. J’adorais mon petit frère et j’étais dès plus ravie de ne plus être seule. Mon père était mon meilleur ami, mais il était très pris par son travail. Quant, à ma mère, elle n’eu jamais la fibre maternelle. Elle était maladroite et ne savait pas très bien s’y prendre avec ses enfants. Elle adorait ses enfants c’était certain, elle ne savait tout simplement pas comment le montrer. Je n’ai jamais été très proche de ma mère. Pourtant, je lui porte un amour immense et un grand respect. C’est quand j’eu dix ans, que mon père obtint le poste de gouverneur. Il n’était plus très présent à la maison et ce sont nos grands-parents qui prenaient soin de nous. Ma mère, de son côté excellait dans sa carrière et n’arrivait pas à décrocher. Avec Noah, nous étions heureux. Nos grands-parents prenaient vraiment bien soin de nous et nous avions chaque soir nos parents au téléphone. On a toujours su qu’on n’était pas une famille normale. Mais nous nous aimions et au moins Noah était avec moi. J’avais aussi la chance d’avoir les amies les plus fantastiques de la terre. Heather, Trish, Jill et moi formions les quatre mousquetaire, unies face au reste du monde. Elles étaient comme mes sœurs, elles le sont toujours. Les nourrices, les histoires de cœurs, l’absence de mes parents, j’ai toujours été plus mature que la moyenne. Assez discrète, je me démarquais par mes notes. J’ai aussi grandis plus vite que les autres, parce que mon monde s’écroula littéralement quand j’eu seize ans. Mon père était en ville depuis quinze jours, et j’étais la plus heureuse du monde. Il était très souvent absent et il me manquait. Même si je m’étais habitué à son absence, j’avais réussis à me trouver un équilibre. J’étais toujours très heureuse de le voir. On reprenait une vie normale. Ma mère avec le temps, freina un peu sa carrière et devint plus aimante, mais certaines blessures restaient. Elle savait qu’elle avait plus ou moins foiré, mais elle faisait des efforts. Un jour que je rentrais de l’école, je décidais de passer au bureau de mon père pour lui faire une surprise. Et ce fut moi qui ai sans doute été la plus surprise des deux. Il était en compagnie d’une collaboratrice et ils s’embrassaient. J’étais en présence de Jonah Wheeler, c’était mon petit copain de l’époque. On n’est pas resté ensemble très longtemps, en réalité il était mon meilleur ami depuis toujours et ça ne marchait pas entre nous. Nous sommes toujours restés les meilleurs amis du monde. Cet échec sentimental, n’avait par chance jamais mit fin à notre amitié. A la suite de cela, mon père m’annonça alors que mes parents étaient séparés depuis plusieurs mois, mais nous avaient caché cette information pour ne pas trop nous perturber. Le divorce fut prononcé très vite et la question de savoir chez qui vivre tomba. Mon père déménagerait et moi je voulais rester avec mes amis. Je décidais donc de rester avec ma mère. Et par la même occasion de porter son nom de famille. Pendant un an, je ne parlais pas à mon père et cela me fit énormément de mal. Je repris contact avec lui à l’occasion de son mariage. Au début, je ne voulais pas y aller. Mais après tout, c’était mon père. Je mis du temps à en parler à mes amies. J’avais honte et j’étais blessé. Avec le temps, je leur en parlais et elles m’aidèrent beaucoup. J’entrais à l’université de médecine à dix-huit ans. Je me souviens encore de la fierté que j’ai ressentie au moment de mon admission et le premier jour de mes études. J’étais assise à côté d’un garçon, que je ne connaissais pas. Je ne pense même que je ne l’avais jamais croisé avant ce jour-là. Il se présenta, il s’appelait Ben Fitzgerald. Et, ce que je ne savais pas, c’est que je venais de rencontrer le garçon qui me ferait le plus souffrir au monde. On a tout vécut ensemble, le pire et le meilleur, nos études, notre internat et aujourd’hui notre résidence. Je suis tombé sous son charme à la première seconde. Mais j’ai mis du temps à tomber amoureuse de lui. Lui, il couche avec tout ce qui bouge, pour ma part, j’ai cédé une fois, et depuis je m’en mords les doigts. Il me considère comme sa meilleure amie, moi aussi, mais je suis aussi amoureuse de lui, alors que lui est amoureux de toutes les filles de cette ville. Je crois qu’il ne se doute même pas de mes sentiments. Jonah, me conseille de lâcher l’affaire, les filles sont plus mitigées, pourtant ma tête me hurle de courir dans la direction opposées, mais mon corps refuse d’être loin de lui. On s’embrasse parfois, on se teste, on se taquine et moi, moi je souffre en silence. Depuis un an je vis avec les filles. La colocation se passe à merveille et je suis dès plus heureuse. Quant à Noah, mène sa vie d’étudiant tout en travaillant un peu à côté. Tout devrait bien aller, tout sauf la nouvelle que je viens d’apprendre. Ma mère est atteinte d’un cancer. Je n’en ai parlé à personne pour l’instant, même pas aux filles. J’intègre l’information comme je peux. Et pour tout vous dire, j’ai du mal à encaisser. Moi qui ne suit proche d’elle que depuis quelques années. Aujourd’hui, que je suis résidente, elle est fière de moi. Elle n’a pas encore pris sa retraite et je sais que ce sera un choc pour tout le monde quand elle partira de l’hôpital, et quand elle annoncera sa maladie. Mais, je sais que pour ma part, mes amis, mon monde, mes âmes-sœurs, seront toujours là à mes côtés.