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| | "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Ven 2 Mai - 17:08 | |
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Une citation rigolote NOM ► O'Neil PRÉNOMS ► Krystal Lila SURNOM(S) ► Krissy ou Lily ÂGE ► 23 ans DATE DE NAISSANCE ► 24 décembre 1990 LIEU DE NAISSANCE ► New York ORIENTATION SEXUELLE ► Hétérosexuelle STATUT CIVIL ► En couple MÉTIER ET/OU ÉTUDES ► Danseuse classique AVATAR ► Lindsay Perry GROUPE ► Love CRÉDITS ► Bazzart Tu crois que t'es sympa ? | Krystal est une jolie poupée de porcelaine que l'on aurait peur de casser si on la touche. Elle est d'une fraicheur et d'une douceur à couper le souffle, à croire que la joie de vivre à remplis son être pour ne plus jamais la quitter. Douce, gentille, aimante et à l'écoute, elle sait être l'amie idéale, voire la confidente de rêve. Sa candeur et ses folies la rende exceptionnelle. Mais attention derrière cette façade de poupée, se cache une femme forte et déterminée, prête à tout pour ce qu'elle désire. Elle est aussi un peu têtue et bourrique, mais elle sait vite se faire pardonner, son sourire étant son arme fatale. Elle est toute petite et pourtant cela l'empêche pas d'avoir un peu de caractère, elle n'a pas peur de la vie, au contraire, elle l'a croque à pleine dent. Passionnée, amoureuse, vivante, généreuse, elle est prête à tout pour le bonheur de Declan, même à lui décrocher la lune s'il l'a désire. | Et tes goûts dans tout ça ? Krystal adore le chocolat, la danse et particulièrement la danse classique. La danse c'est sa vie. En plus de Declan. Elle est folle amoureuse de Declan et aime la vie autant que possible. Elle adore les restaurants français, les spaghettis et la sauce barbecue. Elle est folle des pâtisseries françaises, et si elle le pouvait, elle mangerait que ça. Elle adore aller à plage, rire avec Declan, et surtout s'amuser. Elle bouille de vie. Elle aime le shopping comme toute les filles, mais ce qu'elle aime par dessus tout, c'est flâner dans les rues avec Declan. Elle est désordonnée dans sa tête, mais pas grave ça ne l'empêche pas d'aimer la vie. Par contre elle déteste la violence, l’hypocrisie, l'arrogance et les brocolis. Elle n'est pas fan de la gastronomie américaine, et n'aime pas la valse. Elle est désordonnée dans sa tête, mais pas grave ça ne l'empêche pas d'aimer la vie. Elle n'aime pas les canards, elle en a même peur, par contre, elle est fascinée par les chevaux, son rêve est d'ailleurs d'en avoir un à elle, mais chut, c'est un secret. | | Y'a quelqu'un derrière l'écran ?
© Sensatiion |
Dernière édition par Krystal L. O'Neil le Sam 3 Mai - 0:25, édité 4 fois | | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Ven 2 Mai - 17:08 | |
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Viens que je te raconte ma vie Ouvre tes oreilles et écoute bien Ce n’est pas parce qu’on a un début de vie difficile que la suite l’est forcément, je vous prouverais le contraire.
Je me nomme Krystal Lila O’Neil, je suis née le 24 décembre 1990 à New York et je suis orpheline. Oui je sais, ce n’est pas réjouissant, mais c’est la vie. Ma mère a accouché sous X à l’hôpital Bellevue de New York, sans rien laissé derrière, même pas un nom, rien. Et comme tout enfant sans parent, j’ai atterrie à la pouponnière d’Harlem. Les années ont passés et de la pouponnière, je suis arrivée à l’orphelinat de l’Upper East Side, soit disant parce que là bas, j’avais plus de chance de me faire adopter. C’est un tord, quand on est trop d’enfants, on a peu de chance de l’être. Je n’ai donc pas eu une enfance entouré de deux parents aimants et protecteurs, jamais. Je n’ai jamais été adoptée, j’ai vu bon nombre de mes copines mais jamais mon tour n’est venu, et je pense que c’est la vie qu’en avait décidé ainsi.
Déjà enfant, j’étais très indépendante, certes j’avais des copines, mais j’aimais me retrouver seule, j’aimais être libre comme l’air, jusqu’au jour où je le rencontrais. J’avais 7 ans et sans le savoir, je venais de rencontrer mon grand amour. Declan, un petit brin, un peu baroudeur, tête de turc du pensionnat, et pourtant déjà tellement charmeur. Je ne comprenais pas l’attitude des autres si bien que je le pris sous mon ailes, moi le dinosaure de ce pensionnat. Je m’attirais alors les foudres des autres, perdant mes copines une par une, mais en réalité, je m’en contrefichais, avec Declan j’étais bien. Je riais tout le temps, m’amusais comme jamais auparavant, je me sentais enfin heureuse, et j’espérais que jamais on nous séparerais. J’avais 7 ans et j’avais déjà des rêves pleins la tête, et tous étaient tournés vers Declan.
Le temps passait, les âges défilaient, 10-12-15ans, nous étions toujours ensemble, inséparable comme les doigts d’une main, meilleurs amis. Cela faisait rager les autres, ils nous voyaient heureux même orphelins, mais qu’importe, nous étions dans notre monde, mais nous y étions bien. Je savais tout de lui, il savait tout de moi, nous n’avions aucun secret l’un pour l’autre. Une amitié durable. Qui fit enrager Alex. Alex, c’était le genre de mec imbuvable, blond, beau gosse et surtout un bourreau des cœurs, et qui malheureusement en pinçait pour moi depuis plus de deux ans. J’étais une forteresse imprenable à ses yeux, Declan étant toujours fourré avec moi, et plus les jours passaient, plus son amour se transformait en haine. Chaque jour c’était des injures dans les couloirs, des crasses dans mon dos. Et pourtant, je n’y prêtais pas attention, je ne m’abaissais pas ses bassesses, et continuais mon histoire avec Declan.
Puis Alex commetta l’irréparable. Un après-midi, alors que je me rendais dans ma chambre, traversant le long couloir seule, il m’attrapait par derrière, et me plaquait contre le mur, m’injuriant, me parlant de Declan d’une manière abjecte, me serrant si fort qu’il m’en créait des hématomes. Puis il se mit en tête de vouloir m’embrasser, lui résistant, j’hurlais dans le couloir, décuplant sa rage. Il s’apprêtait à me gifler, et j’étais prête à encaisser, quand je me fis bousculer, et Alex sortit de mon champ de vision. Je ne voyais plus rien, à part des coups qui pleuvait sur lui, et sur Declan. J’avais peur, pour Declan, je refusais qu’il se prenne des coups pour moi, et pourtant. Les pions intervenaient, et j’étais au sol, à pleurer. Quand un bruit assourdissant, me glaçais le sang. Je rouvris alors les yeux, se posant automatiquement sur Declan, puis sur tout ce sang… Alex. Il saignait, plus que permis, son corps était inerte sur le sol, le regard grand ouvert… Il était mort. Pour la première fois de ma vie, j’étais confrontée à la mort, elle ne me fit pas peur, au contraire, ce jour là, elle m’a fait comprendre que la vie était précieuse et qu’il fallait vivre. Et mon esprit se tournait sur Declan, qui pour la première fois, me montra la teneur de ses sentiments… Le pion m’aidais à me relever, se faisant pressant pour que je retourne dans ma chambre. Mais je lui échappais pour alors courir dans les bras de Declan, lui sautant littéralement dessus, le serrant contre moi si fort, que j’aurais pu lu éclater des côtes. J’avais besoin de lui, maintenant plus que jamais, et jamais plus on ne se quitterait, puis le pion me retira de force de ses bras, et je le quittais non sans lui avoir jeté un dernier regard, remplis d’amour.
Et j’ai commencé à aimer, à aimer d’amour. Ce jour là fut le déclic dans ma tête, Declan était mon meilleur ami, mais il n’était pas que ça. Il était plus que ça. Un jugement tombait sur sa tête, travaux d’intérêt générale, sur deux ans. Il échappait ainsi à la taule, et surtout il restait à mes côtés. Suite à cet accident, plus jamais on m’ennuya, tous le monde était clean, et respectait notre amitié. Plus de jugement, rien. Je pouvais enfin vivre ma vie avec Declan sans que plus aucun vienne nous nuire. J’étais libre, et surtout j’étais amoureuse. Cet amour me donnais des ailes, j’étais excellente à l’école, j’excellais dans ma passion : la danse classique. Les plus grandes écoles me voulait avec eux, et j’en étais fière, comme Declan. Il me faisait vibrer, et je l’aimais tellement pour ça.
Puis tout a dérapé, j’entrais à la Julliard School, celle qui aurait du m’apprendre les ficelles du métier de danseuse, mais mon monde si coloré s’assombrissait de jour en jour. Declan déclinait, il s’enfonçait, sombrait dans quelque chose qui m’effrayais. Après l’école, je savais qu’il fumait un joint, c’était malsain, il le savait, je lui disais, et pourtant. Jamais il ne m’a écouté, et la spirale à commencer à tourner. Tout les jours il revenait défoncé, un joint, puis deux, puis trois. Puis la donne change, et c’est le produit qui l’empoissonne. Puis un jour il a essayé le LSD, revenant raide à l’orphelinat. Il se renfermait, et chaque jour, un peu plus je le perdait. Je vivais de ma passion, mais je mourrais sans lui… Les deux extrêmes. Puis un jour, je le sentis défaillir, j’allais le perdre. Réellement. Un soir, il est rentré, titubant, et je compris qu’il était passé à un stade supérieur : son avant bras portait la trace d’une injection. Je me mis alors à pleurer en l’accompagnant à sa chambre, déposant un baiser sur sa joue, implorant le ciel de l’épargner. Je ne l’es plus jamais revu après ça.
Alors j’ai continué ma vie. A la Julliard, j’étais un de leur meilleures éléments, je me battais tout les jours pour faire ce que j’aimais, je me battais pour moi, mais aussi pour Declan, qui me manquais affreusement. Tout au fond de moi, j’espérais qu’un jour nos chemins se recroiseraient, qu’un jour nous serions de nouveau réunis, alors je me battais pour nous construire un avenir. Je vivais pour nous deux. Et j’attendais tout les soirs, un signe du destin, j'avais 19 ans et j'attendais que la vie me le rende.
Ce signe arrivait alors, sans que je ne fasse quoi que ce soit. Un soir alors que je me rendais à mon appartement, j’entendis une fille rigolé dans la rue, prétextant qu’une vingtaine de mecs étaient déchirés dans un taudis miteux à deux coins de la rue. Elle décrivait un portrait : un brun, grand, yeux bleus, cheveux en bataille ressemblant à un Apollon. Et mon sang ne fit qu’un tour. Je courrais vers l’appartement qu’elle désignait, grimpais les marches deux à deux, ressentant sa présence tout près de moi. Il était là. Mon cœur en était sûr. Je m’arrêtais au pas de la porte et vis tous ces corps amorphes. Il n’y avait aucun bruit, le silence, un calme plat. Mon regard parcourais la salle, et je le vis. Aussi raide que les autres, mais toujours aussi beau. Mon ange, mon diable, mon tout. Je m’approchais de lui, faisant attention de ne pas marcher sur les autres, et le pris par la main, le réveillant délicatement. Je le suppliais de rentrer avec moi, je voulais lui faire quitter cet enfer. Et quand ses prunelles s’ouvrit sur moi, je compris alors que j’étais la lumière qu’il cherchait depuis longtemps. Il me suivait avec difficulté, et pourtant malgré ma petite taille, je parvenais à le soulever. Je l’amenais à mon appartement, et ainsi lui offrit mon aide. J’étais prête à tout pour lui, même à lui décroché la lune s’il la souhaitait. Le Crash, cette phase où le corps vous supplie de lui donner sa dose, fut la plus atroce. Pour lui, comme pour moi. J’ai supporté ses cris, ses pleurs de douleur, ses tremblements, ses angoisses, ses peurs. Mais jamais je ne l’ai abandonné, jamais. J’ai pleuré avec lui des fois, mais il réussissait à vaincre ses envies. Puis est venu le traitement de substitution, la méthadone, qui lui fit énormément de bien. Je lui injectais sa dose quotidienne, je faisais en sorte qu’il revive. Et les jours se sont apaisés, il survivait, je revivais. Nous étions de nouveau tout les deux. Puis un soir, mon cœur n’en pouvait plus de faire semblant. Un diner simple, mais je ne pus m’empêcher de lui donner, un baiser, de le serrer contre moi si fort, que nos corps se soudaient. Je le désirais, je voulais m’offrir à lui, lui donner mon âme. Ce soir là je donnais mon corps pour la première fois à un homme. Jamais je n’es oublié cette nuit là. J’avais 20 ans, et j’avais offert mon cœur et mon corps à l’homme de ma vie.
Une année entière sans aucun maux. Je travaillais au conservatoire en tant que ballerine, et lui se remettait peu à peu de ses années de galères. Nous étions heureux de vivre, nous étions bien. Je lui réapprenais à vivre, et lui entretenait la flamme de la vie en moi, me rendant heureuse un peu plus chaque jour. Mon horizon c’était éclairci, et j’étais sûre qu’à jamais, je serais avec lui. Puis il a suffit d’une rechute, puis d’une deuxième, d’une troisième… Et mon horizon s’est de nouveau obscurci. Il profitait que j’aille travailler pour reprendre sa dose, souvent je le retrouvais défoncé dans un taudis, et bien souvent c’était moi qui le sortait de cet enfer. Je l’aimais, tellement, que chaque jour j’allais le récupérer. Mettant de côté mes ambitions, ma vie. Il était mon tout, et je refusais de le perdre, bien qu’il se tuait à petit feu. J’avais peur pour lui, et mon amour pour lui repoussais mes limites chaque jour. Je m’éteignais, mais jamais mon cœur à faillit. J’étais sa femme, et je me devais de prendre soin de lui. Je tentais de comprendre en vain, il recommençait sans cesse.
Aujourd’hui, la flamme dans mes yeux s’éteint peu à peu. La vie, je l’aime un peu moins. Le voir se détruire me fais du mal, mais je n’ose pas lui dire. Je me rends disponible pour lui, je l’aime chaque jour durant. Il a eu ce déclic de quitter N.Y, de nous emmener loin de cet enfer. Il souhaite nous offrir une nouvelle vie. Il se bat contre ses vices, me le prouvant chaque jour, mais se refuse à m’offrir ce que je souhaite : un enfant de lui. J’ai peur, tout les jours, qu’il sombre de nouveau, et qu’il se tue. En m’offrant un enfant, il me permettrait ainsi de l’avoir avec moi à jamais. Quelque chose d’irréalisable pour lui, mais tellement indispensable pour moi. J’espère qu’une chose désormais : Qu’ici à Savannah, il enterre ses vieux démons. Et qu’enfin nous pourrons se construire une vie rien qu’à nous. Sans que rien ne vienne perturber notre bonheur. Declan est toute ma vie, et à jamais, mon cœur lui appartient.
© Sensatiion |
Dernière édition par Krystal L. O'Neil le Sam 3 Mai - 1:46, édité 8 fois | | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Ven 2 Mai - 17:16 | |
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Tout d'abord merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii d'avoir pris mon scénario! Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésites pas de me harceler de mp, j'adore ça! Et très beau choix d'avatar, cette jeune femme est vraiment jolie |
| | | Jayleen Q. Snow-White Super Codeuse ► Adulez-moi ^^
► MESSAGES : 1868 ► ICI DEPUIS : 10/11/2013 ► LOCALISATION : Dans les parages ^^
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Ven 2 Mai - 19:44 | |
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BIENVENUE à toi ma belle ^^ Par contre, vu que vous êtes deux pour le scénario, ce sera à Zach de choisir la fiche qu'il préfère |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Ven 2 Mai - 20:05 | |
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BIENVENUE miss Bonne chance pour la suite de ta fiche |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Ven 2 Mai - 23:19 | |
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Han merci Declan (a). Je suis contente qu'elle te plaise (a).
Merci Aleyna& Jayleen (a) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Sam 3 Mai - 1:47 | |
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Désolé du DP, mais j'ai terminé ma fiche |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Sam 3 Mai - 6:56 | |
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Alors alors alors On va attendre l'avis de Declan sur ta fiche vu qu'il est le créateur de ce scénario Ensuite, comme vous êtes deux à avoir "postuler", il aura donc la lourde tache de choisir sa fiche préférée. Par fair-play, elle aura jusqu'à lundi soir pour terminer sa fiche. Si passé ce délai elle n'est pas terminée, le scénario sera officiellement le tien, à moins que Declan ne trouve n truc à te faire corriger Si dans le délai elle l'a terminé, Monsieur devra donc choisir la fiche qu'il préfère. Je préviens donc la seconde Crystal de la mise en place du "compte à rebours" |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Sam 3 Mai - 11:01 | |
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La fiche est parfaite Tu as vraiment compris ce que je voyais de cette jeune femme. Donc merci beaucoup! Magnifique! Je vais attendre que l'autre Crystal aie fini. Mais ne change rien, c'est vraiment génial! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Sam 3 Mai - 11:25 | |
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BIENVENUUE |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Sam 3 Mai - 15:42 | |
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Bienvenue et bonne chance pour ta validation |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Dim 4 Mai - 1:09 | |
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Pas de soucis Aleyna je patienterais . Declan <3. Je suis contente que ma fiche te plaise sérieux <3. J'ai fais de mon mieux pour coller au personnage . Merci William et Heather . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Dim 4 Mai - 10:08 | |
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Bienvenue!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Dim 4 Mai - 16:08 | |
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Auquel cas tu ne serais pas choisie, j'espère que tu resteras tout de même parmi nous |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Dim 4 Mai - 18:13 | |
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Bon ben voilà, j'ai fait mon choix et c'est toi qui a le scénario!
Pourtant c'était trop trop trop dur de choisir, mais il y avait juste un petit truc, un petit sentiment qui a fait que j'ai vraiment accroché à ta présentation!
Donc à très vite sur le rp! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Dim 4 Mai - 18:19 | |
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Hourra tu es des nôtres ! Eh oui ! Tu fais désormais partie de la très sélecte liste des membres validés ! BRAVO mon lapin Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous ! Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu. Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour ( ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort ( allez ne mens pas on le sait !). |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Dim 4 Mai - 22:52 | |
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Merci Nicolàa WOOOOOW merci Declan, j'ai hâte de rp avec toi en tout cas . Merci Aleyna |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal Lun 5 Mai - 14:34 | |
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Bienvenue ! |
| | | | Sujet: Re: "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal | |
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| | | | "Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens." | Krystal | |
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