NOM ► Buckley. Comme le chanteur, ouais. Je sais, j'ai la classe. PRÉNOMS ► Cameron Owen. D'ailleurs, cet abruti de Chris répétait à tout bout de champ que Cameron était un nom de gonzesse. SURNOM(S) ► On m'appelle souvent Buckley. Pour ce qui est des surnoms, à part Cam, je n'en ai pas vraiment. ÂGE ► Vingt-neuf ans. DATE DE NAISSANCE ► 30 octobre 1984. LIEU DE NAISSANCE ► New York, U.S.A. ORIENTATION SEXUELLE ► J'aime les femmes. Peut-être un peu trop d'ailleurs. Ça m'a coûté mon mariage, à vrai dire. STATUT CIVIL ► Divorcé depuis un peu plus d'un an. Et père, depuis 3 courtes années, d'une véritable petite princesse. MÉTIER ET/OU ÉTUDES ► Actuellement militaire, j'ai été photographe dans le passé. AVATAR ► Jensen Ackles, le plus meilleur de tous les meilleurs. GROUPE ► Family ? CRÉDITS ► Ca, c'est le plus difficile sachant que j'ai trouvé la plupart des images sur Google Images ...

PSEUDO/PRÉNOM ► Marlène, la chatelaîne ! Mais vous pouvez m'appeler comme vous voulez. Moi, ça me dérange pas. Lenou, j'aime bien. Ca fait Lenor, l'adoucissant ! Et ça tombe bien, parce que j'suis douce. ÂGE ► 22 ans. Dites-vous que j'ai quand même eu un moment d'hésitation ... x) SEXE ► Ca fait trop longtemps ! *out* J'suis une fille, en fait. PAYS/RÉGION ► Voila la question que j'attendais. Gravez-le dans vos esprits : JE SUIS BRETONNE ! C'est trèèèèès important pour moi, même. D'ailleurs, pour mes études, j'suis un peu sortie de mon pays et je l'avoue : j'ai mal à ma Bretagne. TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ► Sur Facebook. Merci Mark Zuckerberg. KOEUR KOEUR ! POURQUOI T'ETRE INSCRITE ? ► Parce que j'ai décidé ! Et quand j'ai décidé, c'est qu'il faut le faire ! *out* UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ► Facebook, ça rendrait le forum parfaitement parfait ! *out* UN DERNIER TRUC A DIRE  ? ► Celui qui me souhaite la bienvenue, je lui offre un sandwiche ! A quoi le sandwiche ? A LA FRAISSE !

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<div class="pris">► JENSEN ACKLES</div>

« Et on dirait que toi, t’étais un indien et que moi, je serais le shérif. » Je montre ma réplique de fusil à Christopher et il hoche la tête. « Mon campement, ça sera là-bas. On met les deux matelas de chaque côté et on tend un drap pour faire le toit ! » J’approuve, en me mettant rapidement à la tâche. L’étage est à nous et la planque du shérif prend place dans la salle de bain, la douche nous servant de cellule où les prisonniers croupissent avec l’humidité et les rats. Chacun de nous se tapit dans son repère, se méfiant, prêt à bondir au moindre assaut. Le temps est long, l’attente stressante. Je lance un premier jet de grenades (alias les oreillers) sur le campement de Chris et me voila obligé de me replier sous ses ripostes. Je hurle à mes troupes imaginaires de retourner au camp, les indiens (l’indien tout seul, en vérité) nous poursuivant à cheval (alias le balai). J’attrape le pommeau de douche et tel un preux chevalier, allume l’eau pour asperger mon ennemi. Celui-ci crie à la traîtrise et ma mère débarque à cet instant précis, déboulant si vite qu’elle glisse sur l’eau, tombant sur les fesses. « Et merde … » Je marmonne en éteignant l’eau. « IL EST TROIS HEURES DU MATIN, LES GARCONS ! ET VOUS VENEZ D’INONDER TOUTE LA SALLE DE BAIN ! » Ni moi, ni Chris ne prononcera un mot de plus ce soir là. Enfin … Disons que nous attendrons juste d’être de nouveau tout seul dans ma chambre, pour pouvoir de nouveau rire comme des benêts. C’était comme ça tous les week-ends, avec Chris. On passait les samedis et dimanches, soit chez l’un, soit chez l’autre. Nous étions les meilleurs amis du monde. Et ça a duré. De notre rencontre au cours préparatoire à la disparition de Betty, la femme de Chris, en passant par notre adolescence où l’un n’allait pas sans l’autre, au grand dam de nos parents respectifs. Vous vous demandez où est passé mon père ? Toujours complètement inexistant. Je ne sais pas qui il est, lui n’a jamais voulu me connaître. Ma mère est américaine et a quitté New York peu après ma naissance. Direction Londres et une nouvelle vie, loin de l’homme qui lui a visiblement pourri la vie ... Bref, je porte donc très bien le nom de ma mère. Celle-ci a toujours beaucoup travaillé et je l’ai imité assez tôt. J’ai eu mon diplôme de fin d’études, plus par convenance que pour autre chose et à dix-huit ans, j’étais déjà engagé dans l’armée. Les armes, les voyages, le sport … Je voyais ça comme un rêve qui allait enfin s’accomplir. Depuis mes seize ans, je bossais pour ma mère déjà. Celle-ci était directrice d’une agence de mannequin et je faisais de très bonnes photos. J’ai exercé ce second métier avec plaisir. Franchement … Prendre en photos des femmes aussi belles les unes que les autres, vous voyez le concept ? Plus que plaisant …

Déjà six mois que je suis en Russie. La situation est instable dans le sud, à la frontière avec la Géorgie. C’est désormais notre routine. La fatigue due à la lourdeur de l’équipement, la poussière qui te pique les yeux, le froid est glacial et nous engourdit les doigts … C’est un travail de chien. Mais c’est aussi le mien. Je suis au volant du camion blindé, pour cette fois-ci. Liam est à l’arrière, Lucas aussi. Et tout est calme. Enfin … Tout est relatif car dans cette zone, rien n’est jamais calme. Un militaire ne doit pas oublié d’être sur le qui-vive en permanence. Question de vie ou de mort. Alors j’observe chaque détail. Le visage des gosses que l’on croise, les cailloux sur lesquels nos roues vont passer … C’est pourtant un convoi habituel et les gars, à l’arrière, balancent des blagues aussi nulles les unes que les autres. Mais on apprécie. Ca détend cette atmosphère électrique. « Encore vingt minutes. » Je soupire, serrant les doigts sur le volant pour les empêcher de glisser à chaque secousse. Un coup d’œil derrière, aux gars et une grande explosion retentit tout à coup. Je me sens propulsé en arrière. Je ne suis plus dans le véhicule. Je suis balancé sur le sol, plaqué violemment dans un nuage de poussière à travers lequel je ne vois plus rien. Et plus aucun bruit. Le silence, le néant, sans doute accentué par le fait que mes yeux sont presque devenus aveugles. Pourtant, il y a de l’animation autour. J’ai l’impression que le temps avance au ralenti alors qu’au contraire, tout va très vite. Je découvre tout ce qu’il se passe autour et l’endroit où je suis, dans quel état je suis … Première chose, la douleur. Je brûle. Littéralement. L’explosion a provoqué un incendie et j’ai l’épaule complètement cramée. Mon treillis n’a pas survécu à ça. J’ignore encore que je me suis brisé l’os de l’épaule dans ma chute. Pour le moment, je n’en ai absolument rien à faire. Je viens de tourner la tête et ce n’est pas Lucas que j’ai vu, tout près. C’est son bras. Juste son bras. Lucas se trouve quelques mètres plus loin et je hurle son nom, sans même entendre ma propre voix. C’est inutile, je le sais. Lucas est mort et je me doute qu’il n’est pas le seul. On ne sera pas arrivés au point de chute. C’est un échec. Le pire, puisqu’il y a eu des morts. Ca fait parti du travail mais on ne s’y habitue jamais. Voir un bras, des litres de sang sur le sol, sentir l’odeur de la chair brûlée et voir les corps de vos collègues meurtris, mutilés … C’est quelque chose qui marque, qui blesse votre âme profondément. Mais on se relève. Quand on le peut.

Cette fois-ci, pour la première fois en cinq ans, je n’ai pas pu me relever. La douleur était trop forte et je me suis évanoui. Quand je me suis réveillé, j’étais à l’infirmerie et je venais d’être opéré de l’épaule. J’ai demandé des nouvelles de mes collègues. On m’a confirmé que Lucas était décédé, que ses enfants ne le verront pas rentrer en Angleterre. Liam, quant à lui, a été blessé au visage. Il ne reverra plus, ses yeux l’ont lâché. J’apprendrais aussi plus tard que nous avions été victime d’un attentat, que nous étions dans le véhicule qui suivait celui qui a fait explosé la bombe. A quelques mètres près, il ne restait plus rien de nos corps respectifs, pas même de quoi nous identifier. J’ai aussi appris qu’on me renvoyait chez moi et que j’allais revoir Londres plus vite que prévu. Le bras en écharpe, j’ai assisté aux funérailles officielles de plusieurs de mes collègues, des amis plus précisément. J’ai subi une nouvelle opération de l’épaule et j’ai attendu chaque jour un signe d’amélioration. La douleur reste là, bien présente. Elle est impossible à oublier. Les cicatrices des brûlures resteront aussi. Il faut s’y faire, point barre. Dans l’armée, quand on rentre après avoir vécu, je cite, « des événements pouvant provoquer des troubles post-traumatiques », on nous propose des suivis psychologiques. J’ai décliné. Je n’ai besoin de personne pour me dire ce dont j’ai besoin. J’avais besoin de liberté, de temps pour passer à autre chose, pour guérir aussi. Et d’un boulot. C’est comme ça que je me suis retrouvé, à 23 ans photographe pour l’agence de ma mère. J’étais en repos forcé pour l’armée mais il n’était pas question de ne pas travailler pour autant. Un mal pour un bien puisque c’est grâce à ça que j’ai rencontré Mickaëla. Belle, différente, passionnante. Cette fille m’a tapé dans l’œil. Oh non, aucun rapport avec les sentiments ou un quelconque coup de foudre. Non, c’était professionnel. J’étais intimement persuadé qu’elle serait une mannequin parfaite. Je le sentais. Dans sa façon d’être, de se comporter, de me répondre … Elle était parfaite. Même si elle ne le savait pas encore.

C’est ainsi qu’a débuté notre relation. D’abord uniquement professionnelle, elle a bien vite dévié et nous nous sommes mis en couple. Nous étions deux contre le monde entier. J’avais l’impression d’être le meilleur, d’être avec la meilleure. Ouais, c’est de la fierté mal placée mais c’est exactement ce que je ressentais. Elle et moi, nous allions tout vaincre, tout gagner. Et c’est par la carrière de Micka que nous avons commencé. Il suffisait de rencontrer les bonnes personnes, d’être au bon endroit au bon moment. Elle avait tout, il ne lui manquait que les contacts. Je les lui ai offert sur un plateau d’argent. Quelques temps après, nous nous sommes mariés. Suite logique. Je n’y tenais pas, ce n’est pas un rêve d’enfant pour moi mais Micka le méritait bien et je me suis épanoui pendant un moment grâce à tout ça. Christopher a été mon témoin, évidemment. Comme je l’avais été à son propre mariage. Et ma femme est tombée enceinte. Le jour où elle me l’a appris, j’étais fou de joie. Je m’en souviens parfaitement. De chacun de ses mots, de son léger sourire avant de me l’avouer. C’était magique et même si je flippais, je rêvais aussi. Lilly est née et à l’époque, je ne me rendais sans doute pas compte qu’elle venait de changer ma vie. Non, moi, je suis resté dans mes anciens travers et ma relation avec Mickaëla s’est dégradée, petit à petit. Je ne suis pas fait pour être marié. Je suis fait pour l’aventure, le mouvement … Et je ressentais la vie de famille comme un sacrifice, presque une prison. C’est à ce moment-là que j’ai rencontré Crystal, une jeune mannequin de cinq ans de moins que moi. Elle m’a fait des avances et j’ai sauté sur l’occasion. Cette relation extraconjugale a duré huit mois. Je me sentais coupable mais je ne me posais aucune question. Je ne suis pas quelqu’un de bien et ça, ce n’était pas une surprise. Mickaëla avait juste réussi à camoufler cette partie de moi. Avec elle, j’étais un mec bien. Sauf qu’on ne change pas. Je me rendais simplement compte que j’étais un super acteur. Oh, j’ai aimé Micka, sincèrement. Et je ne regrette pas mon mariage et encore moins la naissance de Lilly. Mais tout ça est terminé. Je ne suis pas un mec bien. Et ma femme s’en ai rendu compte lorsqu’elle a appris que je la trompais. Elle ne s’en doutait pas une seconde et ce jour-là, elle s’est pris une belle claque dans la gueule. Le divorce pour faute a été rapidement prononcé. J’ai perdu beaucoup, ce jour-là. Pas mal d’argent. Mais pire que tout, j’ai perdu la garde de ma fille. Lilly avait deux ans quand nous, ses parents, nous sommes séparés. Voila désormais plus d’un an que je ne l’ai pas vu et que j’en souffre comme un dingue. Par fierté, je me suis tu et je n’ai rien fait pour la récupérer. Après tout, j’avais presque tous les torts dans l’échec de notre mariage, je n’avais rien à dire …

L’armée a constitué une véritable échappatoire à ce moment-là. Je m’y suis plongé corps et âme, acceptant toutes les missions que l’on pouvait me proposer. C’est ainsi que je me suis mis à bosser pour les Nations Unies et que j’ai rencontré Loucian Caldin. Les femmes sont rares dans l’armée. Je l’aurais bien chambré un peu mais je ne vois pas les choses comme ça. Je suis son supérieur, point. Pour autant, celle-ci ne manquait pas une occasion pour me manquer de respect quand elle se sent de le faire. Je tolère. Etonnant de ma part car je déteste qu’on me cherche généralement. Avec elle, c’est un peu différent. Et de toute façon, elle ne me demande rien. Nous étions en Irak et nous avions d’autres choses à penser, de toute façon. Les missions tendues, les explosions, les morts, les blessés, les habitants qui ne nous aidaient pas toujours, les températures insupportablement chaudes … La vie est compliquée là-bas. Et le temps est parfois très long. D’autant plus lors des longues missions … C’est comme ça qu’on succombe aux interdits … J’ai couché avec Loucian Caldin. Grave erreur. Rien que l’embrasser aurait pu m’amener en cour martiale. Pourtant, il n’était question de rien d’autre que de sexe. Pas d’amour, pas de couple … Oh non. Il fallait passer le temps et on se débrouillait pour ça. Je m’inquiétais pour ma carrière, certes, mais la vie reste un jeu. Et il y a eu cette nuit qui a tout fait basculer. C’était la confusion. J’étais en première ligne. Nous étions de garde et contrairement à d’habitude, tout ne s’est pas passé très calmement … A notre droite, une des tentes a explosé, déclenchant un incendie, et c’est à ce moment-là qu’ils ont débarqué. Impossible de comprendre alors ce qu’il se passait. Il ne fallait que tirer, se défendre, saisir d’où venaient les ennemis. Ils nous ont pris par surprise et nous nous sommes vite retrouvés submergés. Je voyais notre débâcle et je me suis retrouvé derrière un de nos camions blindés, accompagné de deux soldats, Loucian Caldin et mon homologue américain, le lieutenant James Williams. Tout s’est alors passé très vite. Williams s’est pris une balle dans la tête. Loucian a débuté une rafale de tirs. Après avoir vérifié l’état de Williams et récupéré une de ses plaques militaires, j’ai imité Caldin. Notre collègue était décédé sur le coup, d’une balle dans la tête, et nous allions sûrement subir le même sort. Je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui m’arrivait. J’ai pris trois balles. Une dans la hanche, une dans le bras et une autre en dessous des côtes. Je me souviens être tombé et je me suis laissé bien vite emporter par un coma profond, du à la quantité importante de sang perdu. Laissé pour mort, je ne voyais plus rien, je n’entendais plus rien …

Je me suis, pour la deuxième fois de ma vie, réveillé à l’infirmerie de la base sans savoir ce que je faisais là. Aucun organe n’avait été touché mais les douleurs m’ont vite rappelé à elles. Cette fois-ci, le bilan était de nouveau bien lourd. Pas particulièrement pour moi. Après tout, je n’aurais besoin que de quelques mois de rétablissement … Mais pour les autres. Au total, trente-sept morts, cinquante-neuf blessés, un disparu. J’ai demandé les noms et j’ai du faire preuve de patience pour les avoir. La lecture fut difficile. D’autant plus lorsque j’ai lu le nom de Loucian Caldin sur le papier. Personne n’avait eu de ses nouvelles et j’avais du mal à le réaliser. Je ne l’entendrais plus me dire de ne pas lui faciliter la vie et d’autres conneries pareilles … Pour tout le monde, elle était morte et je dois avouer que je n’ai pas dérogé à la règle. Même si elle était en vie, elle ne le resterait pas longtemps. D’autant plus que nous n’avions reçu aucune demande de rançon … Rien. J’ai demandé malgré tout que l’on forme une équipe de recherches. Je n’ai eu que des réponses négatives de la part de mes supérieurs. Trop dangereux. Inutile. Nous avions été trop affaibli lors de cette attaque. Nous ne devions plus prendre autant de risques. J’ai été, par la suite, rapatrié au Royaume-Uni, ce n’était pas la peine de discuter. Physiquement, j’ai mis des mois à m’en remettre. Mentalement, c’est toujours aussi compliqué. Mais je me suis consacré à une autre idée. Il était inutile de trop penser aux événements récents. Je ne pourrais pas changer les choses. Alors je me suis mis dans la tête de revoir ma fille. Je me suis renseigné, j’ai passé des coups de fil et j’ai appris, bien brutalement, que Mickaëla, Lilly et Christopher vivaient ensemble à Savannah, aux Etats-Unis. C’était une trahison. De la part de Chris, principalement. Il était mon meilleur ami, il n’avait pas le droit de s’approprier MA fille et celle qui avait été MA femme. C’est d’ailleurs la raison qui m’a fait quitté l’Angleterre. Personne n’a le droit de me voler ma famille. Je ne laisserais pas ce mec me faire ça … Et je récupérerais Mickaëla, ainsi que la garde de Lilly. Je suis son père, putain. Et même mon meilleur ami ne m’empêchera pas de retrouver ma famille. Je le jure ...

Eh oui ! Tu fais désormais partie de la très sélecte liste des membres validés ! BRAVO mon lapin :lapin:Mais attention, ce n'est pas terminé maintenant, il te reste deux ou trois trucs à faire comme avoir pleins d'amis ! Eh oui ! Va donc découvrir le monde des fiches de liens de la mort qui tue, te trouver un logement qui claquera sa maman et court vite RP avec nous tous ! :mouche:Si tu es sympa tu peux aller voter sur les Tops Sites, au moins tu nous fileras un coup de patte pour que l'on soit un peu plus connu. :fete:Et si tu te sens seul, crées-toi donc un scénario d'amour (ou non). Le plus important reste que tu nous aimes fort fort fort (allez ne mens pas on le sait !).